Quand Margot devient chienne 29

18 Haziran 2021 0 Yazar: admin

Asian

Quand Margot devient chienne 29Et que Anne commence à aimer son Maître.A peine entrée dans le vestibule, Laurent avait fait déshabiller Féline. Bon d’accord elle n’avait pas grand chose sur elle déjà, alors ce fut vite fait. Il lui mit des menottes, les bras dans le dos. Féline ne disait rien. Elle se laissait faire sans broncher. Laurent la serra dans ses bras. Ce corps là attirait la caresse et il ne s’en priva pas. Malaxant ses seins, tirant sur les tétons qui aussitôt durcirent. Laurent les aimait ces tétons la. Bien gros, bien longs, très durs sous l’excitation. Puis il l’embrassa. Tendrement. Elle lui rendit son baiser, il est si bon avec moi se dit-elle. Puis il lui demanda si elle avait décidé ce qu’elle voulait comme signe distinctif. Elle resta muette un instant puis fit un signe négatif de la tête. Il l’entraîna par le bras en lui disant qu’il allait l’aider dans son choix. Après l’avoir emmenée dans le salon, Laurent lui dit de rester sur le tapis devant le canapé. Il avait poussé la table basse se laissant un espace libre. Il lui fit écarter les jambes et glissa sous ses pieds nus, un petit bâton de bois. Oh, pas très gros mais juste assez pour avoir une sensation de déséquilibre. Ce n’est pas grand chose en apparence, mais debout, les jambes écartées, menottée dans le dos, avec ça sous les plantes des pieds ce n’est pas du tout évident. D’ailleurs, Féline s’en rendit compte rapidement. Elle vacillait et avait peine à rester debout. Laurent qui avait disparu quelques secondes revint avec un petit tabouret. Il le plaça entre les jambes de Féline qui se contorsionnait pour voir ce que c’était sans chuter. -Féline, je veux que tu me dises ce que je veux entendre. J’ai pris une décision pour toi concernant ton signe d’appartenance. Si tu fais le bon choix je retire les morceaux de bois sous tes pieds. Dans le cas contraire je les laisse mais tu pourras t’asseoir quand tu seras fatiguée. Tu vois c’est simple. Tu as compris ?-Oui « Monsieur ».-Pour te prouver que je ne mens pas, voici une enveloppe que je pose à côté de toi. Dedans j’ai écris mon choix. Tu pourras le vérifier toi-même.Bien sur il y avait un petit détail que d’ailleurs Féline avait réussi à voir. Certes elle pourrait s’asseoir, mais sur le tabouret il y avait un gode double qui l’attendait.-Alors ma Féline, que crois-tu que j’ai choisi pour toi ?-Je ne sais pas trop « Monsieur ». -Réfléchis.-Je fais cela depuis deux jours déjà, mais je n’arrive pas à me décider.-Tu dois quand même avoir une petite préférence je suppose ?-Je crois oui.-Et bien alors, jette toi à l’eau !-Mais oui, mais si ce n’est pas ça !-C’est un risque en effet. Mais si c’est le même choix que moi, tu souffres inutilement. Je vois bien que tu as du mal à tenir.-Oui c’est vrai mais je ne sais pas quoi faire. canlı bahis şirketleri J’hésite vraiment.-C’est toi qui vois. Moi je suis fort bien installé dans mon canapé.-C’est trop dur ! Faites ce que vous voulez, je suis d’accord. S’il vous plait, « Monsieur ».-Non, ça ne marche pas comme ça. Tu dois me dire ton choix. Et penses que si c’est le bon je te libère.-Vous en avez vous des tatouages « Monsieur » ?-Oui, j’en ai. Mais j’ai aussi une boucle d’oreille.-Bon, alors je choisis le …-Oui ?…-Le … Oh mon Dieu c’est trop dur !-Allez courage, tes pieds vont te lâcher.-Le … T … Le piercing !-Et bien voilà. Tu vois ce n’était pas si dur de décider.Féline se sentit effectivement tout de suite soulagée. Les traits de son visage se décrispèrent un peu. Mais elle dut se concentrer sur son équilibre quand même. Les morceaux de bois étaient toujours là. Laurent repris l’enveloppe et s’employa à la décacheter. Il déplia la feuille de papier qui s’y trouvait et la plaça sous les yeux de Féline. Ses yeux justement elle les avait fermés. Cela ne facilitait pas son équilibre mais ça retardait l’échéance de ce qu’elle pressentait au fond d’elle. Ou qu’elle souhaitait, allez savoir. Quand elle les rouvrit, son regard se glaça. Ce qu’elle redoutait se produisait. Elle avait beau relire le mot, il ne voulait pas changer. C’était bien tatouage qu’il y avait d’écrit. Un instant de découragement la fit chanceler. Féline dut se reprendre vite au risque de tomber. Laurent rangea le papier. Il disparut à la vue de Féline quelques secondes encore. Mais tout d’un coup elle sentit quelque chose de froid couler dans sa raie des fesses puis, la main de Laurent passa entre les deux globes, enduisant au passage la rondelle encore vierge.-Pas la peine de te lubrifier la chatte, hein ma salope, vu comme tu mouilles malgré le supplice ?! Par contre ton trou du cul en a besoin car j’imagine que tu ne vas pas pouvoir tenir très longtemps encore. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas un gros calibre. Il faut commencer en douceur.Tout en lui disant ça, Laurent lui massait la rondelle aidé du lubrifiant. Il sentait le muscle se détendre un peu et en profita pour insérer un doigt. Il remit une giclée de gel et le fit pénétrer ainsi qu’un second doigt. De son autre main il tenait Féline afin qu’elle ne tombe pas à cause de ses caresses. Il fit coulisser ses deux doigts dans le trou du cul de Féline en remarquant que petit à petit, le passage se faisait plus aisé.-Voilà ma petite chienne est prête. Tu fais comme tu veux. Ou tu résistes et tu finiras quand même par t’asseoir ou tu préfères le faire sans trop souffrir et je te retire les morceaux de bois. A toi de voir.-…-Tu ne dis rien ?-…-Ah, tu hésites ! Tes pieds ne te font pas mal sans doute.-Si.-Mais tu hésites canlı kaçak iddaa quand même ?-Non, ce n’est pas ça.-Ah non, alors c’est quoi ?-Je n’ai pas envie.-Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis. Je t’ai juste proposé une alternative. Avec bouts de bois ou sans.-…-Alors ?-Sans.-Très bien, alors laisse moi t’enlever ça.Une fois les deux morceaux enlevés de dessous les pieds de Féline, cette dernière resta les jambes écartées au dessus du tabouret phallique, sans bouger. Malgré le regard noir de Laurent, elle n’osait encore s’asseoir. Lui imaginait bien ce qui se passait dans sa tête. Mais sa perversité si longtemps contenue devait s’exprimer avec cette chienne d’Anne. Il fallait la contraindre. S’il capitulait, s’en était fini de leur relation de Maître/soumis. Elle devait plier. Après l’horizon s’ouvrait.-Veux-tu de l’aide ?-Non, non, merci « Monsieur ».-Alors décide-toi, on ne va pas y passer la soirée.Alors Féline se baissa un peu comme si elle allait s’asseoir sur le siège des toilettes, timidement. Elle regardait entre ses cuisses le gode double qui allait l’emplir dans un instant. Or si le premier ne la dérangeait pas vraiment, le deuxième captait toute son attention. Certes il n’était pas bien gros et surtout assez effilé ce qui permettrait sans doute de faire moins mal lors de l’intromission. Mais tout de même, à l’exception des doigts de son Maître juste avant, c’était une première. Elle se décida finalement à se baisser jusqu’à toucher de ses grandes lèvres le plus gros des godes. Elle se positionna pour qu’il la pénètre sans problème puis se saisit de l’autre gode que Laurent avait également enduit de gel lubrifiant, et le positionna aussi à toucher son étoile brune. Comme il lui sembla que les deux phallus étaient bien placés, elle entama une descente en douceur. Un tiers des engins avait disparu. Aucun ne semblait lui faire mal. Pourtant lorsque celui de derrière devint un peu plus gros, Féline fit la grimace. Elle stoppa sa descente. Derrière elle, Laurent remit une petite giclée du lubrifiant. Il fallait que cela se fasse le plus en douceur possible. Ne rien brusquer et surtout ne pas lui faire mal. C’est qu’il y tenait à sa soumise.Féline repris sa descente mais par petits à-coups. Pas en continu. Elle voulait habituer son orifice anal petit à petit. Des larmes perlaient au bord de ses yeux. Elle se concentrait et c’était peut-être ça son tort. Elle devait trop se contracter. Laurent lui dit de se détendre d’ailleurs. Encore un petit effort, une goutte supplémentaire de gel et le double gode est avalé. Féline est assise sur le tabouret la chatte et le trou du cul remplis.Laurent essuie ses larmes et l’embrasse tendrement. Il lui caresse la joue puis va derrière elle la libérer de ses entraves. Féline se masse les canlı kaçak bahis poignets, plus machinalement que pour une éventuelle douleur. Les menottes étaient doublées de velours et peu serrées. Un instant après, Laurent reparait devant elle mais nu et la bite en avant.-Suce-moi ma salope ! Tu crois que je vais laisser une chienne comme toi prendre du plaisir toute seule ? Tu n’as pas résisté hein petite pute ! Il a fallu que tu t’embroches sur ces belles queues. Il t’en faut des bites hein ?! Et pas qu’une ! Allez, suce ! Oui, caresse mes couilles aussi, allez ! Quand je pense à ce que tu as dans le cul ma salope ! Tu aimes ça hein ?! Dis le que tu aimes ça sale chienne !-Oui « Monsieur » j’aime ça.-Tu aimes quoi petite pute lubrique ?-J’aime la bite.-Et où tu l’aimes la bite ?! Dis-le !-Dans ma chatte « Monsieur ».-Et c’est tout ? Je ne crois pas ma salope que ce soit tout. Allez dis-moi où !-Dans mon cul aussi « Monsieur ».-Comment ? Que dis-tu ? Que dit ma petite salope ?-J’aime la bite dans mon cul « Monsieur ».-Je m’en doutais, Tu cachais bien ton jeu cochonne. Allez suce encore ! Je vais t’arroser tes gros nibards de foutre chaud. Regarde moi tes tétons comme ils bandent ! Tu es excitée comme une truie en chaleur ! Et merde, mais tu coules comme une fontaine encore ! Tu m’as mis plein de jus sur le tapis ma salope.Peu de temps après, avec le traitement que Féline infligeait à sa queue raide, Laurent ne tarda pas à lui décharger dans la bouche. Tout en le suçant encore jusqu’à la dernière saccade, elle laissa le sperme couler sur ses seins tendus et se massa le corps enduit du précieux nectar.Après une bonne douche, elle vint se caler, toujours nue, dans les bras de son Maître assis dans le canapé. La table basse avait retrouvé son emplacement d’origine et deux verres vides attendaient qu’on veuille bien les remplir. Laurent lui proposa d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter cette première victoire sur son corps. Féline accepta et osa un baiser sur la joue de Laurent.Ils trinquèrent donc à ce premier pas. Laurent semblait fort détendu. Féline s’était de nouveau lovée au creux de son épaule.-Féline ?-Oui « Monsieur ».-Je te remercie.-Hein ??! Pourquoi « Monsieur » ?-Parce que je sais très bien que tu n’aimes pas la sodomie. -Oui, c’est vrai « Monsieur ».-Je ne t’en veux pas. Mais pour les punitions, je sais quoi faire maintenant !-« Monsieur » ?-Oui Féline ?-J’ai une requête « monsieur ».-Oui, je t’en prie, dis-moi.-Vous êtes mon Maître n’est-ce pas ?-Oui, absolument.-Alors si vous le permettez, c’est ainsi que je voudrai vous appeler.-C’est-à-dire ?-« Mon Maître ».-Ah ! … Après tout pourquoi pas. C’est d’accord, tu peux m’appeler « mon maître », ça me va.-Merci « Mon Maître ». Oh oui, j’aime ces mots dans ma bouche. Merci beaucoup « mon Maître ».-Bon rhabille toi maintenant j’ai à faire. Et tiens, prend ça.-Oui c’est quoi ?-C’est l’adresse où tu dois aller dès demain faire ton tatouage.-Bien « Mon Maître ». C’est quoi le tatouage ?-Tu le verras bien assez tôt. File !A suivre…